L’existence de Tahiti viendrait d’un énorme poisson venant de Raiatea et traversant l’océan vers l’Est, comme le raconte la belle légende de Terehe, appelée également légende de Tahiti Nui.
Cette ancienne légende de l’île de Maiao raconte l’histoire d’un lézard jaune (Moo’rea), mis au monde par une habitante de Tupai Manu, qui donna son nom à l’île de Moorea.
Cette légende polynésienne raconte comment la pirogue de Hiro a coupé l’île de Huahine en deux et comment le dieu Hiro y a laissé sa rame et son hameçon, toujours visibles dans la baie de Maroe.
Savez-vous que lorsque vous buvez de l’eau dans un coco, vous accordez un baiser à une anguille ? Lisez la légende de Hina, dont la main avait été promise à une anguiille
Elle existait bien avant l’arrivée des Européens. En effet, les premiers Polynésiens étaient de grands navigateurs et avaient découvert Tahiti et ses îles à bord de pirogues doubles. Depuis le début des années 70, le « va’a » connaît un spectaculaire regain.
Le surf, présent dans les activités sportives polynésiennes depuis des temps, est observé pour la première fois au 18ème siècle par les explorateurs européens et notamment par le navigateur James Cook. La cote de popularité du surf est infaillible à Tahiti et ses îles.
Le tatouage plus communément appelé « tatau » en tahitien tient une place primordiale dans la culture polynésienne depuis la nuit des temps. Le « tatau » désigne littéralement l’action de taper légèrement. Le « tatau » avait un rôle essentiel dans la vie d’un homme ou d’une femme en Polynésie, dans le sens où il marquait l’entrée dans l’âge adulte.
La danse accompagne toutes les festivités qui rythment la vie des Polynésiens, que ce soit pour un anniversaire, un mariage ou tout autre événement. La danse représente la convivialité des Polynésiens et la grâce des « vahine » (femmes).
L’architecture polynésienne a connu de profonds changements depuis la moitié du 19ème siècle avec l’aménagement urbain de la ville de Papeete, pour des raisons militaires et commerciales.
Manogi en « paumotu » (langue des Tuamotu) ou Pani en marquisien, le Mono’i est au cœur de la tradition polynésienne. Cette huile parfumée est un produit cosmétique apprécié pour sublimer la beauté de chaque individu (homme, femme, et enfant) en magnifiant sa peau. Il est également utilisé pour le massage et au cours d’anciens rituels religieux afin de purifier les objets, les offrandes et les autels.